Non, je ne connais pas de ...

Non, je ne connais pas de métier plus honteux, Plus sot, plus dégradant pour la pensée humaine Que de se mettre ainsi la cervelle à la gêne, Pour écrire trois mots quand il n'en faut que deux, Traiter son propre cœur comme un chien qu'on enchaine, Et fausser jusqu'aux pleurs que l'on a dans les yeux.
 Giacomo Leopardi

Citations liés

Les abrutis forment une grande famille, ils se reconnaissent sans avoir besoin de se renifler l'anus, contrairement aux chiens, qui ont au moins mis en place un protocole d'évaluation.
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 Frantz Delplanque
L'enfant partit avec l'ange et le chien suivit derrière. Cette phrase convient merveilleusement à François d'Assise.
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 Christian Bobin
Si les chiens chiaient des haches, ils se fendraient le cul.
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 Anonyme
Tous les soirs et tous les matins, depuis que le chien avait eu cette maladie de peau, Salamano le passait à la pommade. Mais selon lui, sa vraie maladie, c'était la vieillesse, et la vieillesse ne se guérit pas.
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 Albert Camus
Chien qui aboie ne mord pas dit le proverbe. Moi je veux bien le croire, mais le chien, lui, est-ce qu'il sait ?
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 Popeck

Citations du même auteur

On n'en finirait pas de dresser la liste des illusions et des absurdités qui sont tenues pour vraies par les hommes les plus sensés, chaque fois que l'esprit ne peut venir à bout d'une contradiction qui le tourmente.
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 Giacomo Leopardi
La gloire et l'honneur ne sont, je le sais, que fantômes ; le bonheur et la joie, un désir sans objet ; la vie, misère vaine, ne produit pas un fruit.
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 Giacomo Leopardi
La patience est la plus héroïque des vertus, précisément parce qu'elle n'a pas la moindre apparence d'héroïsme.
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 Giacomo Leopardi
Grande et terrible est la puissance du rire: contre elle nul ne saurait se prémunir; et l'homme qui a le courage de rire est le maître du monde, comme celui qui est toujours prêt à mourir.
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 Giacomo Leopardi
Nul ne devient homme s'il n'a d'abord acquis une grande expérience de soi-même, où il se révèle à ses propres yeux, se forge un jugement sur son propre compte et ainsi détermine en quelque sorte sa destinée et sa vie.
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 Giacomo Leopardi