On devrait toujours prendre des photos, même si on n'a pas d'appareil, au moins avec son esprit. Les souvenirs qu'on se fait soi-même, volontairement, sont toujours plus vifs que ceux qu'on enregistre par accident.
On a toujours la possibilité de se défendre contre la haine, la médisance, la jalousie. On ne peut rien contre les bons sentiments. Ils paralysent les forces vives comme la glu colle les pattes des mouches trop aventureuses.
C'est la force des dirigeants modernes d'avoir compris que la religion ayant cessé d'être l'opium du peuple, la loterie qui pour un investissement modique permet l'égalité des chances, pouvait constituer une drogue de substitution.