Le départ de Thuy Lynh est ...

Le départ de Thuy Lynh est pour bientôt et son visage s'ensoleille. Son regard est un paysage où déjà je n'existe plus. Un paysage d'impatience où je découvre une terrible envie de précipiter le temps. Moi, le temps, je voudrais l'immobiliser.
 Claire Mazard

Citations liés

Les gens s'attendent toujours à ce que les traîtres aient un visage de traître.
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 Alfred Bester
De même que la valeur de la vie n'est pas en sa surface mais dans ses profondeurs, les choses vues ne sont pas dans leur écorce mais dans leur noyau, et les hommes ne sont pas dans leur visage mais dans leur cœur.
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 Khalil Gibran
CRÉON : On est tout seul, Hémon. Le monde est nu. Et tu m'as admiré trop longtemps. Regarde-moi, c'est cela devenir un homme, voir le visage de son père en face, un jour.
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 Jean Anouilh
Le temps est ce que nous sommes.Il est sur notre visage,dans nos silences,dans notre attente.Méritons le temps de la patience et des jours où rien n'arrive.
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 Tahar Ben Jelloun
Visage d'ange mais c'est un diable. Princesse redoutable. Préfère le maniement du sabre à l'apprentissage du piano, les courses à cheval aux ragots. Déteste les jérémiades.
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 Rébecca Dautremer

Citations du même auteur

Le départ de Thuy Lynh est pour bientôt et son visage s'ensoleille. Son regard est un paysage où déjà je n'existe plus. Un paysage d'impatience où je découvre une terrible envie de précipiter le temps. Moi, le temps, je voudrais l'immobiliser.
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 Claire Mazard
Le départ de Thuy Lynh est pour bientôt et son visage s'ensoleille. Son regard est un paysage où déjà je n'existe plus. Un paysage d'impatience où je découvre une terrible envie de précipiter le temps. Moi, le temps, je voudrais l'immobiliser.
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 Claire Mazard
Il avait tout raconté à ses parents. Les sarcasmes, les sourires, les moqueries, les regards. Son enfer depuis toujours. Son père avait porté plainte à la police. Celle-ci ne s'était pas déplacée : dossier classé sans suite.
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 Claire Mazard
Le départ de Thuy Lynh est pour bientôt et son visage s'ensoleille. Son regard est un paysage où déjà je n'existe plus. Un paysage d'impatience où je découvre une terrible envie de précipiter le temps. Moi, le temps, je voudrais l'immobiliser.
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 Claire Mazard