La haine n'est-elle pas aussi douloureuse que l'amour ? Celui qui déteste son semblable s'enchaîne à sa rancune, se fait prisonnier de son ressentiment. Il n'est plus un être libre.
On voit ce qu'on peut voir, on vit ce qu'on peut vivre : c'est déjà beaucoup, c'est de l'infini palpable, concret, inaliénable, vivre aujourd'hui, c'est déjà n'être pas mort.