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La franc-maçonnerie est une plaie mauvaise sur le corps du communisme français. Il faut la brûler au fer rouge.
Léon Trotsky
Maintenant il me semble que je sais, de source sûre, qu'il n'y a pas de vie sans dépense, ni risque, ni donc surprise, et que la surprise et la dépense (gratuite, non marchande : c'est la seule définition possible du communisme) non seulement font partie de toute la vie, mais sont la vie elle-même en son ultime vérité.
Placer sur le même plan moral le communisme russe et le nazi-fascisme, en tant que tous les deux seraient totalitaires, est dans le meilleur des cas de la superficialité, dans le pire du fascisme. Ceux qui insistent sur cette équivalence peuvent bien se targuer d'être démocrates, en vérité, et au fond de leur cœur, ils sont déjà fascistes ; et à coup sûr ils ne combattront le fascisme qu'en apparence et de façon non sincère, mais réserveront toute leur haine au communisme.
En attendant l'avènement de la phase "supérieure" du communisme, les socialistes réclament de la société et de l'État qu'ils exercent le contrôle le plus rigoureux sur la mesure de travail et la mesure de consommation ; mais ce contrôle doit commencer par l'expropriation des capitalistes, par le contrôle des ouvriers sur les capitalistes, et il doit être exercé non par l'État des fonctionnaires, mais par l'État des ouvriers armés.
Le communisme a eu à l'origine des idéaux élevés et des conceptions magnifiques mais par la faute des politiciens égoistes,il a été dénaturé et dévoyé.
Pour rendre justice au communisme, on doit surtout apprécier les nobles sentiments qui le caractérisent, et non les vaines théories qui leurs servent d'organes provisoires.
Michel Tournier cite Léon Blum (en juin 1995) en réponse à une question d'un lycéen qui lui reproche d'avoir, dans le roi des aulnes, "esthétisé la barbarie" : " Le communisme est une technique, le socialisme est une morale et le fascisme une esthétique".
Michel Tournier
Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le communisme, ils ont davantage de parkings.
Les communistes n'ont pas de sexe [...] Oui, Monsieur, les serviteurs de la Révolution n'ont pas plus de sexe que de cœur. Le communisme a tout rétréci en eux. Ils sont la mécanique d'un système de police, de psychiatres et de pénitenciers. Le mot peuple, dans la bouche des membres du parti, est une farce. À ce point de mensonge, ils ne savent plus ce que c'est que le mensonge. L'esprit de négation a aplati en eux toute spiritualité. Il les rabaisse, les matérialise et les enferme dans la mentalité petite-bourgeoise avec ses hiérarchies à rebours. Si vous voulez, le communisme, c'est le côté cour du nazisme.
Je commençais à réaliser pourquoi le Parti n'avait pas de programme à long terme pour les services sociaux, les hôpitaux, les écoles ou le gardiennage d'enfants. Ils plagiaient les programmes de divers syndicats et associations sociales. De telles réformes, si elles convenaient, pouvaient être adaptées au goût du jour. Mais les réformes étaient un anathème de la stratégie à long terme du communisme, qui visait la révolution et la dictature du prolétariat.
Le communisme, en un mot, est l'organisation de millions de personnes en un tout, selon les lois communautaires. Cela implique naturellement, l'instauration de bien des choses inexistantes dans la société non communiste précédente, ou dans la société d'un autre type. Les éléments communautaires préexistants, prémices du communisme, se transforment dans les conditions nouvellement créées, parfois si radicalement qu'ils semblent n'avoir plus aucun lien avec leur anciennes manifestations. D'où l'impression, erronée, que les relations de type communiste sont absolument neuves.
Quant à critiquer les épouvantables tares du régime stalinien, j'appartiens à un courant qui a combattu le stalinisme dans ses prémisses, qui a toujours dénoncé la dictature de Staline et de ses successeurs, y compris quand toute une partie des gens qui aujourd'hui font profession de dénoncer les " crimes du communisme " encensaient les maîtres du Kremlin et justifiaient ou taisaient leurs crimes.
Commencer par les fins : voilà le bon départ d'un communisme de notre temps. Pourquoi, c'est-à-dire pour quoi travailler, aller à l'école, aller voter... ? Toute désaliénation de la politique commence par l'écoute vraie de ces lancinantes questions de sens, et par le sens des réponses qu'elle se montrera capable de tisser avec les questionneurs.